À propos de l’organisme
Notre différence fait votre force
Bienvenue à Institut National pour l’Équité, l’Égalité et l’Inclusion des personnes en situation de handicap
L’Institut National pour l’Équité, l’Égalité et l’Inclusion des personnes en situation de handicap (INÉÉI–PSH) est un organisme national sans but lucratif adhérant à la représentation du handicap telle que définie par la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CRDPH-ONU) en parfaite adéquation avec l’approche du modèle de développement humain – Processus de production du handicap (MDH-PPH).
À des fins purement sociales, charitables et dans le but de promouvoir et de soutenir les personnes vivant avec différentes capacités, des incapacités multiples, des limitations ou des déficiences, l’INÉÉI-PSH s’est constitué en organisme à but non lucratif en novembre 2018.
À des fins purement sociales, charitables et dans le but de promouvoir et de soutenir les personnes vivant avec différentes capacités, des incapacités multiples, des limitations ou des déficiences, l’INÉÉI-PSH s’est constitué en organisme à but non lucratif en novembre 2018.C’est aussi un institut qui s’inscrit dans un mouvement se structurant autour de l’action équitable et égalitaire permettant la participation sociale et l’inclusion économique des personnes en situation de handicap. Sa vision s’articule autour d’actions assurant la réalisation d’une société juste, inclusive, sécuritaire et égalitaire où la participation des personnes en situation de handicap de tous âges, de tous genres et de toutes origines ethnoculturelles est pleine et entière.
Utilisant une approche basée sur le cadre d’analyse Intersectionnelle (ADS+, ACS+) considérant les incapacités multiples, l’INÉÉI-PSH est avant tout un projet collectif d’innovation sociale qui entend devenir un leader développant une offre unique aux personnes en situation de handicap et leurs familles, celle-ci se structurant autour de 3 axes importants :
Brève historique
Créé en novembre 2018, L’INÉÉI-PSH met l’accent sur la promotion des espaces positifs, c’est-à-dire égalitaires, inclusifs, et sécuritaires, où toutes et tous peuvent s’exprimer et participer pleinement. Il se distingue par sa structure qui assure la participation et l’inclusion de toutes et de tous, comptant sur les forces et les différentes capacités de chaque personne.
L’organisation est régie par un Conseil d’Administration prônant la gouvernance paritaire, inclusive, et intersectionnelle, avec des personnes-membres issues de différents milieux de la recherche universitaire, du communautaire, du privé, public, associatif et parapublic. Les activités sont mises en œuvre par une équipe de collaborateurs multidisciplinaires, compétents et engagés, avec l’appui de consultants et de bénévoles. Les membres du CA et de l’Organe exécutif sont majoritairement des personnes en situation de handicap (PSH). Grâce à la synergie d’action des bénévoles, collaboratrices/collaborateurs, membres du CA, et partenaires financiers, l’organisation a pu étendre son champ d’actions et consolider sa notoriété dans la région du Grand Montréal et de la province du Québec.
En 2023, l’organisation compte une cinquantaine de membres, dont majoritairement des PSH ou les membres de leurs familles, des membres individuels alliés, des associations ou organisations membres.
L’INÉÉI-PSH s’est placé en tête de file, saisissant les opportunités lui permettant de répondre efficacement aux besoins des PSH, surtout durant la période de la pandémie du COVID 19 en 2020-2021. À travers son service InterAidance, l’INÉÉI-PSH continue d’offrir une écoute active, une orientation et référence vers des ressources d’aide d’urgence, des formations aux bénévoles et aux ressources d’aide, un soutien psychosocial aux femmes survivantes des violences, et un accompagnement personnalisé.
Pourquoi une nouvelle structure ?
Partant de cette prémisse, l’INÉÉI – PSH est un mouvement se structurant autour de l’action équitable et égalitaire assurant la participation sociale et l’inclusion économique des personnes en situation de handicap.
À des fins purement sociales, charitables en respect des différentes compétences, l’Institut National pour l’Équité, l’Égalité et l’Inclusion INÉÉI-PSH oeuvre en complémentarité avec des structures existantes afin de promouvoir et de soutenir les personnes vivant avec différentes capacités et des incapacités multiples, des limitations ou des déficiences souvent en situation de handicap. Un institut qui se veut une structure inclusive pour l’avancement des personnes en situation de handicap.
En plus de promouvoir la participation sociale et l’inclusion économique des personnes en situation de handicap, nous proposons des services complémentaires afin de combler les besoins non répondus dans l’offre actuelle des services publics, communautaires et privée. Dans une perspective assurant une approche basée sur le cadre d’analyse différenciée selon les sexes plus (Intersectionnelle) (ADS+, ACS+) ainsi que celle du multi-handicap, l’INÉÉI-PSH est avant tout un projet d’innovation sociale et collectif qui entend devenir un leader développant une offre unique aux personnes en situation de handicap ainsi que leur famille
Notre vision s’inscrit dans la réalisation d’une société inclusive sécuritaire, juste et égalitaire où la participation des personnes en situation de handicap de tous âges, de tous genres et de toutes origines ethnoculturelles est pleine et entière.
Préambule et quelques définitions
Dans une perspective assurant une approche basée sur le cadre d’analyse différenciée selon les sexes plus (Intersectionnelle) (ADS+, ACS+) ainsi que celle du multi-handicap, l’INÉÉI-PSH est avant tout un projet d’innovation sociale et collectif qui entend devenir un leader développant une offre unique aux personnes en situation de handicap ainsi que leur famille.
Notre vision s’inscrit dans la réalisation d’une société inclusive sécuritaire, juste et égalitaire où la participation des personnes en situation de handicap de tous âges, de tous genres et de toutes origines ethnoculturelles est pleine et entière.
L’INÉÉI-PSH se réfère à la Convention relative aux Droits des Personnes Handicapées (ONU 2006), laquelle considère les personnes ayant des incapacités comme « des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles permanentes ou temporaires dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’équité et l’égalité avec les autres »
Les termes employés au singulier seulement, comprennent le pluriel et vice-versa, ceux employés au masculin comprennent le féminin et vice-versa et ceux s’appliquant à des personnes physiques s’entendent aussi pour des personnes morales, notamment les corporations et tous les autres groupements non constitués en corporation.
Les termes « handicap » ou « personne handicapée » ont le sens que leur attribue la Loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées, en vue de leur intégration scolaire, sociale et professionnelle (L.R.Q c. E-20.1).
Quelques définitions
Quelques définitions
Toute personne ayant des déficiences, des incapacités ou limitations fonctionnelles. Ces incapacités peuvent être : physiques, sensorielles, intellectuelles ou mentales dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres.
Le modèle de développement humain-Processus de production est une approche sociale et situationnelle du handicap.
Le Handicap n’est pas une caractéristique de la personne mais le résultat de l’interaction entre une personne ayant des incapacités et les obstacles ou facilitateurs rencontrés dans son milieu de vie pour réaliser sa participation sociale. L’INEEI-PSH s’inscrit dans ce cadre de référence ancré dans les droits et en accord avec la Convention de l’ONU relative aux droits des personnes handicapées (CRDPH).
Renvoie à une théorie transdisciplinaire visant à appréhender la complexité des identités et des inégalités sociales par une approche intégrée. Elle réfute le cloisonnement et la hiérarchisation des grands axes de la différenciation sociale que sont les catégories de sexe/genre, classe, race, ethnicité, âge, handicap et orientation sexuelle. L’approche intersectionnelle va au-delà d’une simple reconnaissance de la multiplicité des systèmes d’oppression opérant à partir de ces catégories et postule leur interaction dans la production et la reproduction des inégalités sociales (Crenshaw 1989 ; Collins 2000 ; Brah & Phoenix 2004). Elle propose d’appréhender « la réalité sociale des femmes et des hommes, ainsi que les dynamiques sociales, culturelles, économiques et politiques qui s’y rattachent comme étant multiples et déterminées simultanément et de façon interactive par plusieurs axes d’organisation sociale significatifs » (Stasiulis 1999 : 345).
Analyse différenciée selon les sexes
Un processus d’analyse, adopté par le gouvernement du Québec favorisant l’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes par l’entremise des orientations et des actions des instances décisionnelles de la société sur le plan local, régional et national.
Analyse comparative entre les sexes Plus
Une approche, s’inspirant de l’analyse intersectionnelle, adoptée par le gouvernement fédéral servant à évaluer les répercussions potentielles des politiques, des programmes ou des initiatives sur divers ensembles de personnes — femmes, hommes ou autres. L’identité individuelle est déterminée par une multitude de facteurs en plus du sexe, par exemple la race, l’origine ethnique, la religion, l’âge ou le fait de vivre avec un handicap de nature physique ou intellectuelle. D’où l’ajout du mot « plus », signifiant que l’analyse ne se limite pas au sexe (différences biologiques) ou au genre (la construction sociale du sexe), mais considère aussi les autres facteurs qui les recoupent.
Toute personne ayant des déficiences, des incapacités ou limitations fonctionnelles. Ces incapacités peuvent être : physiques, sensorielles, intellectuelles ou mentales dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres.
Le modèle de développement humain-Processus de production est une approche sociale et situationnelle du handicap.
Le Handicap n’est pas une caractéristique de la personne mais le résultat de l’interaction entre une personne ayant des incapacités et les obstacles ou facilitateurs rencontrés dans son milieu de vie pour réaliser sa participation sociale. L’INEEI-PSH s’inscrit dans ce cadre de référence ancré dans les droits et en accord avec la Convention de l’ONU relative aux droits des personnes handicapées (CRDPH).
Renvoie à une théorie transdisciplinaire visant à appréhender la complexité des identités et des inégalités sociales par une approche intégrée. Elle réfute le cloisonnement et la hiérarchisation des grands axes de la différenciation sociale que sont les catégories de sexe/genre, classe, race, ethnicité, âge, handicap et orientation sexuelle. L’approche intersectionnelle va au-delà d’une simple reconnaissance de la multiplicité des systèmes d’oppression opérant à partir de ces catégories et postule leur interaction dans la production et la reproduction des inégalités sociales (Crenshaw 1989 ; Collins 2000 ; Brah & Phoenix 2004). Elle propose d’appréhender « la réalité sociale des femmes et des hommes, ainsi que les dynamiques sociales, culturelles, économiques et politiques qui s’y rattachent comme étant multiples et déterminées simultanément et de façon interactive par plusieurs axes d’organisation sociale significatifs » (Stasiulis 1999 : 345).
Analyse comparative entre les sexes Plus
Une approche, s’inspirant de l’analyse intersectionnelle, adoptée par le gouvernement fédéral servant à évaluer les répercussions potentielles des politiques, des programmes ou des initiatives sur divers ensembles de personnes — femmes, hommes ou autres. L’identité individuelle est déterminée par une multitude de facteurs en plus du sexe, par exemple la race, l’origine ethnique, la religion, l’âge ou le fait de vivre avec un handicap de nature physique ou intellectuelle. D’où l’ajout du mot « plus », signifiant que l’analyse ne se limite pas au sexe (différences biologiques) ou au genre (la construction sociale du sexe), mais considère aussi les autres facteurs qui les recoupent.
Analyse différenciée selon les sexes
Un processus d’analyse, adopté par le gouvernement du Québec favorisant l’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes par l’entremise des orientations et des actions des instances décisionnelles de la société sur le plan local, régional et national.